Thursday, October 23, 2008

Amorce d'ébauche (tuée dans l'oeuf)

Chers amis, il est 23h46 et j'interromps mon absorption dans le lichen pour te remplir, toi, gentille feuille, veinarde... Jugeant de cette entrée en matière, les ceusses à qui l’allusion aura fait sens – il y a donc des gens d'esprit qui me lisent ? – m’assimileront sans doute à un pervers. “On tient le futur Dutrou(x)” s’exclameront-ils. Qu’ils se rassurent : j’ai d’autres cordes et mon arc est très souple. Si la perversion est une facette relativement développée et, pour être franc, pas tout à fait assumée de ma personnalité, celle-ci ne peut se borner à cet aspect bestial et primitif, qui viserait à remplir chaque orifice se présentant sous mon nez – notez le symbolisme. Comme tout un chacun, j’ai ma dose d’impuissance.

Il est désormais 9h43. Près de 36 heures plus tard, je viens de relire mon introduction et ma foi, la trouvant non sans charme, j'ai décidé d'en faire le corps de cet article. Par corps j'entends naturellement cœur et je vous laisse décider si cette phrase était utile.

Sur ce, je retourne m'absorber dans la crise financière et la fusion Viscaya-Argentaria, parce que, pardon, mais j'ai besoin d'air !!!!

À bientôt les p'tits monstres.